Cet engagement s’inscrit pleinement dans le cadre de la grande cause du quinquennat décrétée par le président de la République et en appui de la diplomatie féministe engagée par le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères. Les droits des femmes et l’égalité femmes-hommes seront ainsi placés au cœur de la présidence française du G7.
 
L’AEFE doit être à la pointe de ce combat de chaque jour. Avec les 496  établissements homologués situés dans 137  pays, elle est porteuse d’un modèle éducatif et culturel fondé sur l’égalité fondamentale entre les filles et les garçons.
 
Mixité, plaisir de vivre ensemble dans le respect des diversités, lutte contre les préjugés, tolérance zéro à l’égard du harcèlement et des violences : ce sont là les valeurs et les objectifs que les équipes s’efforcent de promouvoir et d’atteindre quotidiennement, en tenant compte dans leur approche pédagogique des différences culturelles qui ne sauraient contredire les valeurs universelles que la France défend partout.
 
Cette dynamique est en œuvre par exemple dans la pratique sportive. Les Jeux internationaux de la jeunesse, qui se tiendront au Liban en juin prochain, seront l’occasion de témoigner de notre attachement à la mixité dans le sport. C’est aussi un travail à conduire dans le domaine de l’orientation des élèves, où il faut lutter, à l’étranger comme en France, contre les préjugés tenaces sur les métiers et les formations qui seraient plus adaptés aux filles ou aux garçons et atteindre davantage de mixité dans les filières.
 
L’AEFE doit aussi être conforme aux valeurs qu’elle porte dans son propre fonctionnement. Il n’y a et il n’y aura aucune place pour des pratiques inadmissibles de sexisme ou de harcèlement. Il y a encore des progrès à faire pour se rapprocher de l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’accès aux postes à responsabilité, au siège comme dans le réseau.

Mais il ne suffit pas de décréter son attachement à l’égalité. Il faut la construire sur des bases solides. C’est pourquoi à l’occasion de ce 8 mars, le directeur de l’AEFE a annoncé aux équipes que l’AEFE allait s’engager dans l’obtention du label AFNOR « Égalité professionnelle ». Ce sera l’occasion de dresser un état des lieux et de bâtir, toutes et tous ensemble, un grand projet pour notre avenir.

Un professeur du lycée français de Nairobi fait malheureusement partie des victimes de cet accident.

Dans ces moments douloureux, le directeur et les personnels de l’AEFE tiennent à faire part aux communautés scolaires du lycée français Denis-Diderot de leur immense tristesse et de leur solidarité.

Ils adressent leurs plus sincères condoléances aux familles, aux proches et aux collègues des victimes de ce vol ET302. Toutes leurs pensées les accompagnent dans cette terrible épreuve.

Organisée par le CLÉMI, centre pour l’éducation aux médias et à l’information, la Semaine de la presse et des médias dans l’école est un grand rendez-vous annuel. Partout dans le monde, les enseignants saisissent cette occasion pour faire découvrir à leurs élèves le pluralisme de la presse, pour mener avec eux des activités de décryptage, leur faire rencontrer des journalistes et les initier aux techniques journalistiques afin de produire eux-mêmes sur différents médias.
 
Avec pour thème « L’information sans frontières ? », cette 30e édition s’ouvre à l’international pour aborder avec les élèves les pratiques et enjeux de l’information dans un monde à l’ère numérique. Elle coïncide avec la première édition de la Semaine européenne de l’éducation aux médias (« European Media Literacy Week »), lancée par la Commission européenne du 18 au 22 mars.

Rencontres avec des journalistes de France Médias Monde

Durant cette semaine, des moments d’échanges privilégiés entre professionnels de l’information et élèves sont organisés. Des journalistes, correspondants de la chaîne télévisée France 24 et de la radio RFI, médias du groupe France Médias Monde, viennent à la rencontre des élèves dans une trentaine de lycées français dans le monde. Comment travaillent les journalistes à l’étranger ? Comment vérifier l’information ? Comment lutter contre les « infox » (néologisme à partir des mots « information » et « intoxication ») ? Autant de questions qui sont au cœur de ces rencontres.

Deux événements à Radio France

Une équipe « presse » de jeunes reporters internationaux (JRI AEFE) associent des élèves du lycée français Louis-Pasteur de Bogota en Colombie et du Lycée international de l’Est Parisien à Noisy-le-Grand (93). Cette équipe presse, venue couvrir le concert de l’Orchestre des lycées français du monde, participent à deux conférences organisés à Radio France le 18 mars.

• 10h – 12h : la rencontre « Reportages sans frontières », en présence de médias francophones et de journalistes grands reporters, est filmée et peut être suivie dans les lycées français du mondeen direct sur le réseau social Twitter, grâce aux JRI AEFE.
• 14h30 – 16h30 : « À la rencontre de la rédaction de FranceInfo » est un événement destiné à faire découvrir les métiers de la radio aux élèves. Les JRI AEFE sont par ailleurs également invités à visiter les studios de FranceInfo le vendredi 15 mars.

Un support média pour les JRI AEFE

Photos, articles, extraits vidéo ou sonores : la Semaine de la presse et des médias dans l’école est l’occasion pour les élèves jeunes reporters internationaux des lycées français du monde de mettre leurs techniques journalistiques en œuvre ! Retrouvez toutes leurs productionssur un nouveau média web configuré par l’AEFE.

« Vous portez les valeurs de tolérance et de partage de la francophonie, auxquelles nous sommes attachés. » Ce sont en ces mots qu’Olivier Brochet, directeur de l’AEFE, a félicité Caroline Torbey en lui remettant le prix « Ancien-ne élève des lycées français du monde ». La cérémonie, organisée par lepetitjournal.com, se déroulait le 12 mars 2019, dans les salons du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, et a mis en lumière sept parcours remarquables faisant rayonner la France à l’étranger.

Née à Enghien-les-Bains (95, France), Caroline Torbey passe son enfance et son adolescence à Douala au Cameroun, où elle suit sa scolarité au lycée français Dominique-Savio. En 2002, sa famille s’étant installée au Liban, elle poursuit ses études au lycée franco-libanais Nahr-Ibrahim de Jounieh.

Diplômée d'une licence en sciences politiques et d'un master en relations publiques, elle se lance dans l’écriture. Caroline Torbey publie son premier roman, Quelle heure est-il chez vous ?, en 2016, et participe à un ouvrage collectif, L'amour à 100 mains. En 2017, elle concrétise une grande aventure, avec une trilogie de livres illustrés pour la jeunesse en langue française sur les proverbes libanais. « Depuis ma plus tendre enfance, j’entendais mon père, fervent patriote de sa région natale le Nord-Liban, citer des proverbes dont il me laissait le soin d’en comprendre le sens. C’est ainsi que m'est venue l'idée, quelques années plus tard, d’écrire Dessine-moi un proverbe, les proverbes libanais racontés aux enfants.»

« Donne en fonction de ce que tu as » : en recevant son trophée, Caroline Torbey a choisi de citer ce proverbe et a souligné son souhait, à travers ses ouvrages,  de « donner aux enfants de la diaspora libanaise un peu de la culture du pays ». Saluée pour son travail innovant, elle est aujourd’hui sollicitée par de nombreux établissements scolaires au Liban, parmi lesquelles des lycées français, pour organiser des ateliers autour de sa série de livres.

Retour sur la cérémonie en vidéo

Les sept lauréats 2019 et leurs organismes parrains

• Françoise Malby, co-fondatrice de la réserve animalière Thulathula en Afrique du Sud : prix du Public, parrainé par la Banque Transatlantique
• Olivia Mondo, fondatrice de Kmerpad, entreprise de confection de serviettes hygiéniques réutilisables, au Cameroun, les règles étant souvent un motif d’absentéisme scolaire : trophée Éducation, parrainé par le CNED
• Anna Godefroy, co-fondatrice et directrice de Binner’s Project, réseau d’entraide à destination des recycleurs de rue précaires, au Canada : trophée Innovation, parrainé par MisterFly
• Éric Mangin, fondateur de U2Guide, entreprise de tourisme solidaire, en Espagne : trophée Entrepreneur, parrainé par l‘EDHEC Business School
• Sébastien Perret, fondateur de Vientiane Rescue, service de secours d’urgence aux victimes d’accidents de la route, au Laos : trophée Social et humanitaire, parrainé par France Médias Monde
• Éric Stocker, maître laqueur, co-fondateur de Angkor Artwork au Cambodge : trophée Culture/Art de Vivre, parrainé par Le Courrier international

et

• Caroline Torbey, auteure, ancienne élève  du lycée français Dominique-Savio à Douala au Cameroun et du lycée franco-libanais Nahr-Ibrahim de Jounieh au Liban: trophée Ancien-ne élève des lycées français du monde, parrainé par l’AEFE.

Témoignage vidéo depuis le studio de l'AEFE :

L'Observatoire, véritable lieu d’échanges, d’expertise et de recherches de bonnes pratiques pour mettre en oeuvre l’école inclusive

Depuis quelques années, l’AEFE s’est saisie de façon volontariste de la question de l'inclusion et a créé, en 2016, un Observatoire pour les élèves à besoins éducatifs particuliers (OBEP). Il permet le partage de témoignages, identifie les leviers les plus pertinents possibles pour faire en sorte que, dans l’ensemble des établissements homologués, la réalité de l’inclusion se rapproche peu à peu à la fois de l’idéal qu’elle porte et des attendus des textes qui la régissent en France. Notons qu’une circulaire fondatrice en date du 4 août 2017 sur la scolarisation des élèves en situation de handicap à l’étranger – texte associant les ministères de l'Éducation nationale et des Affaires étrangères – a ainsi été publiée à la suite des travaux de l’OBEP.

Plus précisément, l'Observatoire veille à :

• Proposer des orientations structurantes et adaptéesà l’extrême diversité des contextes locaux.
• Partager des témoignages sur des projets conduits en établissements ou à plus large échelle.
• Impulser et suivre les actions conduites dans le monde entier, par le perfectionnement continu de nos outils de collecte d'informations remontées du « terrain ». Mieux diagnostiquer pour mieux piloter !
• Accompagner la professionnalisation des acteurs, en exploitant les opportunités de la formation à distance (levier on ne peut plus pertinent dans un réseau mondialisé comme celui de l'AEFE), mais aussi en visant une plus grande mutualisation des réflexions et pratiques, notamment en matière de solutions d’adaptation et de différenciation pédagogiques. Donner/recevoir/rendre… C’est cela faire réseau !
• Renforcer sans cesse la coopération avec les associations de parents d’élèves, très engagées en faveur de l’école inclusive dans notre réseau. Elles ont développé une forte expertise, tout particulièrement sur les questions relatives au handicap dont pâtissent les enfants de certains de leurs membres actifs. L’AEFE ne peut que se réjouir de pouvoir compter sur leur force de proposition et leur irremplaçable intelligence des situations concrètes. À l'Agence de continuer à s'en nourrir et d’y puiser les inspirations pour des progrès individuels et collectifs. Pour le plus grand bénéfice des élèves, travaillons à l’alliance éducative avec les parents !

Nous ne prenons pas une route déjà tracée mais un chemin que nous traçons en avançant. L’itinéraire est donc plus incertain, mais beaucoup plus ouvert à la complexité, à la surprise et à la vie foisonnante d’un très beau réseau…

Le concert en direct du Grand Auditorium de Radio France :

► Suivez le concert en direct radio

 
Cette « Jeune Planète Musique » rassemble  :

• 70 jeunes musiciens, de 23 nationalités différentes, issus d'une quarantaine d'établissements scolaires du réseau de l'AEFE ,
• 120 choristes venus des lycées français Blaise-Pascal d'Abidjan, Paul-Valéry de Cali et Saint-Exupéry de Ouagadougou, ainsi que de deux établissements franciliens, le collège Pierre-Mendès-France de Marcoussis et le Lycée international de Saint-Germain-en-Laye.

Avec le TUTORAT de musiciens de l'Orchestre Philharmonique de Radio France
Claire Perez-Maestro CHEF DE CHŒUR
Adriana Tanus DIRECTION

La captation est réalisée par une équipe de JRI AEFE du lycée français de Louis-Pasteur de Bogota et du Lycée international de l'Est parisien.

Témoignage vidéo depuis le studio de l'AEFE :

L'Observatoire, véritable lieu d’échanges, d’expertise et de recherches de bonnes pratiques pour mettre en oeuvre l’école inclusive

Depuis quelques années, l’AEFE s’est saisie de façon volontariste de la question de l'inclusion et a créé, en 2016, un Observatoire pour les élèves à besoins éducatifs particuliers (OBEP). Il permet le partage de témoignages, identifie les leviers les plus pertinents possibles pour faire en sorte que, dans l’ensemble des établissements homologués, la réalité de l’inclusion se rapproche peu à peu à la fois de l’idéal qu’elle porte et des attendus des textes qui la régissent en France. Notons qu’une circulaire fondatrice en date du 4 août 2017 sur la scolarisation des élèves en situation de handicap à l’étranger – texte associant les ministères de l'Éducation nationale et des Affaires étrangères – a ainsi été publiée à la suite des travaux de l’OBEP.

Plus précisément, l'Observatoire veille à :

• Proposer des orientations structurantes et adaptéesà l’extrême diversité des contextes locaux.
• Partager des témoignages sur des projets conduits en établissements ou à plus large échelle.
• Impulser et suivre les actions conduites dans le monde entier, par le perfectionnement continu de nos outils de collecte d'informations remontées du « terrain ». Mieux diagnostiquer pour mieux piloter !
• Accompagner la professionnalisation des acteurs, en exploitant les opportunités de la formation à distance (levier on ne peut plus pertinent dans un réseau mondialisé comme celui de l'AEFE), mais aussi en visant une plus grande mutualisation des réflexions et pratiques, notamment en matière de solutions d’adaptation et de différenciation pédagogiques. Donner/recevoir/rendre… C’est cela faire réseau !
• Renforcer sans cesse la coopération avec les associations de parents d’élèves, très engagées en faveur de l’école inclusive dans notre réseau. Elles ont développé une forte expertise, tout particulièrement sur les questions relatives au handicap dont pâtissent les enfants de certains de leurs membres actifs. L’AEFE ne peut que se réjouir de pouvoir compter sur leur force de proposition et leur irremplaçable intelligence des situations concrètes. À l'Agence de continuer à s'en nourrir et d’y puiser les inspirations pour des progrès individuels et collectifs. Pour le plus grand bénéfice des élèves, travaillons à l’alliance éducative avec les parents !

Nous ne prenons pas une route déjà tracée mais un chemin que nous traçons en avançant. L’itinéraire est donc plus incertain, mais beaucoup plus ouvert à la complexité, à la surprise et à la vie foisonnante d’un très beau réseau…

Les élèves avaient à réaliser un travail collectif à la fois littéraire et artistique à partir des dix mots choisis cette année sur la thématique des formes de l’écrit, de la diversité des pratiques d’écritures et des expressions graphiques : arabesque, composer, coquille, cursif/-ive, gribouillis, logogramme, phylactère, rébus, signe, tracé.

Pour la première fois, le concours des Dix Mots s’est inscrit dans le calendrier de La Semaine de la langue française et de la Francophonie, dont il est une opération-phare. Pour la première fois également, il était ouvert aux élèves du premier degré. Conséquence de ces évolutions : cette 13^e édition du concours a recueilli un nombre record de participations, avec plus de 500 inscriptions recensées !

La cérémonie de remise des prix a été marquée par la présence du parrain de la Semaine de la langue française et de la Francophonie : Riad Sattouf, auteur de bande dessinée et réalisateur français. Très enjoué, enthousiasmé par l’ensemble des projets présentés, il a encouragé les jeunes lauréats « à continuer à jouer avec les mots, car c’est ainsi qu’une langue reste vivante ».

Les enseignants et élèves qui ont participé au concours s’y sont particulièrement investis. Ils ont notamment été félicités par Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel de l’Académie française, Paul de Sinety, délégué général à la langue française et aux langues de France (ministère de la Culture), et Xavier Turion, adjoint au directeur général de l’enseignement scolaire (ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse); qui ont tous relevé la grande diversité des productions qui témoignent de la richesse de la langue française et des enjeux primordiaux du bon apprentissage de la langue.

Le palmarès dans la catégorie « établissements français à l’étranger »

1^er prix pour le second degré

Une classe de seconde du lycée français international Louis-Massignon (Maroc) pour le projet « (Dé)formée  – Quand le corps décharné s’habille de mots… ». La classe s’est inscrite tardivement au concours et a eu peu de temps pour réaliser et finaliser son projet. Il a fallu aux élèves être très réactifs et inventifs. Ils sont aujourd’hui très fiers de ce prix et heureux d’avoir pu dépêcher, depuis Bouskoura, nouveau quartier « vert » de l’agglomération de Casablanca, une délégation à Paris pour le recevoir.

1^er prix pour le premier degré

La classe de CM1 D de l’École française internationale de Djeddah (Arabie saoudite) pour« C’est notre écriture ! », une chanson filmée jouant avec les rimes et les mots que les élèves ont inventée, mise en musique et interprétée, accompagnés à la guitare par leur professeure.
N’ayant pas pu effectuer le déplacement, la classe a adressé une vidéo de remerciement qui a été diffusée dans la salle des académiciens où se déroulait la cérémonie.

Des accessits

• une classe de 6e du Lycée français international de Porto (Portugal) pour le projet : « S’il vous plaît, dessine-moi 10 mots »;
• des classes de CE2, CM1 et CM2 de l’École française de Ljubljana (Slovénie)  pour le projet : « Partageons nos mots sous toutes leurs formes »;
• une classe de CM2 de l’École internationale des Nations Uniesà New-York (États-Unis) pour le projet « Unis-Dis-moi dix mots »;
• la classe de CM2 B de l’École de Battersea à Londres (Royaume-Uni) pour le projet : « L’œuf qui était vieux et étrange, le livre des origines ».

 
Ils sont « enseignants expatriés à mission de conseil pédagogique du second degré » (EEMCP2, en abrégé) : ils assurent une partie de leur service en tant que professeurs dans l'un des lycées français du monde et mènent des actions de formation continueà l'échelle d'une zone du réseau. Relais importants des inspecteurs pédagogiques de l’AEFE, Maria Gomez (espagnol), Christine Minetto (anglais) et Ali Mouhoub (arabe), ces enseignants formateurs chevronnés vont contribuer à mettre en œuvre la réforme du lycée et du baccalauréat dans le réseau scolaire mondial.

Réunis mi-mars dans les locaux d’un lycée parisien, le lycée Montaigne, ils ont notamment pu rencontrer une inspectrice générale de l’Éducation nationale, Isabelle Leguy, qui leur a expliqué les messages que la réforme du lycée veut faire passer. « Il s'agit plutôt d'évolutions que de modifications profondes pour l'enseignement des langues, a précisé Mme Leguy, car nous prolongeons ce qui s'est mis en place depuis ces quinze dernières années avec l'adoption du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL). Nous poursuivons dans la même direction et donc il n'y a pas de très grandes modifications si ce n'est l'introduction d'une spécialité pour le cycle terminal de "langues, littératures et cultures étrangères" »

Pendant des ateliers interlangues, les formateurs ont pu concevoir des modules de formation en lien avec les nouveaux programmes scolaires, en commençant par ceux de la classe de seconde qui sont les premiers à être mis en application avant l'organisation du nouveau baccalauréat en 2021.