C’est au lycée Louis-le-Grand à Paris, dont le proviseur est lui-même un ancien élève du lycée français Charles-de-Gaulle (Londres), que s’est réunie l’assemblée générale de l’association mondiale des anciens élèves, le 6 octobre 2018. À l’ordre du jour : adoption de nouveaux statuts « plus simples mais plus précis et mieux adaptés à notre association mondiale » (selon les mots du bureau qui a convoqué l’AG) puis élection des nouvelles instances.
N.B. : Le conseil d’administration comprend deux membres de droits, représentants de l’Agence pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE) et de la Mission laïque française (Mlf), et douze membres élus.

Les membres élus du nouveau conseil d'administration

(avec l’indication du lycée français du monde où ils ont été élèves)

• Michel Baum, Lycée français de Vienne (Autriche)
• Anna Kornyukhina, Lycée français de Prague (République tchèque)
• Marie Gabrielle Kouamedjo, Lycée français Fustel-de-Coulanges (Yaoundé, Cameroun)
• Olivier Lahady, Lycée français de Tamatave (Madagascar)
• Francine Mallet-Lamy, Lycée français Vincent-van-Gogh (La Haye, Pays-Bas)
• Sophia Mac Loughlin, Lycée Victor-Hugo (Marrakech, Maroc)
• Ahmed Mernissi, Lycée Lyautey (Casablanca, Maroc)
• Kerem Onem, Lycée français Charles-de-Gaulle (Ankara, Turquie)
• Thibaud Sarrazin, Lycée franco-allemand de Sarrebruck (Allemagne)
• Guy Sukho,Établissement Liberté (Bamako, Mali)
• Dominique Tchimbakala, Lycée français Saint-Exupéry (Brazzaville, Congo)
• Amel Zilmi, Lycée français Saint-Exupéry (Brazzaville, Congo)

Les membres du bureau

• Dominique Tchimbakala, présidente
• Francine Mallet-Lamy, vice-présidente
• Anna Kornyukhina, secrétaire générale
• Marie Gabrielle Kouamedjo, secrétaire générale adjointe
• Amel Zilmi, trésorière
• Olivier Lahady, trésorier adjoint

Dominique Tchimbakala, présidente

Quelques jours après son élection, Dominique Tchimbakala a adressé un message aux adhérents de l’association, sur la page Facebook de celle-ci :
« Au nom de tous les administrateurs, je voudrais vous remercier chaleureusement, pour votre dévouement et votre engagement, au service de notre association. Votre confiance nous oblige. Nous ferons en sorte d'en être dignes.
Nous tenions également à remercier le président sortant, René Randrianja, pour le travail accompli, aux côtés des membres du précédent conseil d'administration.
Nous sommes à votre service – dès aujourd'hui et pendant deux ans – pour bâtir un réseau mondial rénové d'anciens élèves des lycées français du monde :
• un réseau soudé autour des valeurs de tolérance, d'humanisme, et de solidarité,
• un réseau constitué de membres animés par la volonté de rencontrer l'autre, dans un esprit de bienveillance,
• un réseau dans lequel les associations locales prendront toute leur place, c'est le sens de notre nouvelle dénomination, "Union-ALFM".
Nous souhaitons aussi développer une communauté structurée, capable de constituer un soutien matériel et moral, pour nos anciens élèves, où qu'ils se trouvent dans le monde.
Enfin, nous voulons une "Union-ALFM" suffisamment forte, pour porter la voix et l'exigence du modèle d'éducation à la française.
Ce projet est enthousiasmant et ambitieux !
Nous ne saurons le faire vivre que grâce à votre énergie et votre engagement, en puisant nos forces dans cette identité inclassable qui résulte autant de la diversité de nos histoires, que de la langue et de la culture que nous avons en commun. »
 
Après Sophia Alami-Merrouni, Flavia Ferrari Inchauspe et René Randrianja, Dominique Tchimbakala devient la quatrième présidente de l’association fondée en 2010.

Née en France et d’abord scolarisée dans une école primaire parisienne, Dominique a ensuite suivi ses parents qui sont retournés au Congo en 1987 car l’ancienne compagnie aérienne Air Afrique, où sa mère travaillait, fermait ses bureaux en France. Elle a été élève au lycée français Saint-Exupéry de Brazzaville de la 6e à la terminale. Revenue en France pour ses études supérieures (hypokhâgne, khâgne, licence d’histoire, maîtrise de sciences politiques, 3e cycle de communication), elle est devenue journaliste. Après avoir longtemps travaillé pour le Magazine de la santé de France 5, elle présente actuellement le JT Afrique de TV5MONDE.

Dominique est resté très attachée à son ancien établissement et, plus généralement, à l’enseignement français qui a joué un rôle déterminant dans son parcours.

Dès 2013, pour le Forum mondial des anciens élèves (FOMA) à Vienne en Autriche, elle faisait partie des grands témoins qui, via la vidéo, apportaient leurs réponses aux questions : « Quel souvenir gardez-vous du lycée français ? », « Que vous a apporté votre scolarité dans un lycée français à l’étranger ? », « Pourquoi constituer un réseau d’anciens élèves ? ».

Depuis, elle a souvent apporté son concours lors d'événements fédérateurs visant à créer du lien entre les anciens élèves et à  associer ces acteurs de la francophonie à la vie du réseau scolaire mondial.
Ici, en juin 2018 au Quai d'Orsay, Dominique Tchimbakala anime une table ronde rassemblant d'anciens boursiers Excellence-Major de l'AEFE :

..

Elle a également accepté d'apporter son témoignage dans le cadre de l'éducation aux médias et à l'information. Ici en 2016, face à des étudiants anciens élèves de lycées français à l'étranger, ou bien au siège de TV5Monde lors de la préparation d'un "JT", Dominique Tchimbakala évoque les caractéristiques et les exigences de son métier de journaliste :

C’est à l’occasion de la Semaine des lycées français du monde 2018 que Michel Orier, directeur de la musique et de la création à Radio France, et Christophe Bouchard, directeur de l'AEFE, ont signé une nouvelle convention triennale très ambitieuse. Cette convention développe le volet pédagogique de la coopération en ajoutant notamment un volet formation pour les enseignants d’éducation musicale. Une attention particulière est portée au chant choral, levier important pour insuffler des pratiques pédagogiques innovantes alliant musique et langue orale.

Dirigé par Adriana Tanus, également enseignante au Lycée français de Madrid, l'Orchestre des lycées français du monde, sera composé pour cette Ve saison de 70 jeunes musiciens de 23 nationalités différentes, qui viennent de 40 établissements scolaires du réseau situés dans 28 pays. Il sera accompagné d'un chœur international, dirigé par Claire Perez-Maestro, rassemblant 120 choristes, du collège Pierre-Mendès-France de Marcoussis (80), du collège international de Saint-Germain-en-Laye (10), et de trois établissements du réseau scolaire mondial, les lycées français Blaise-Pascal d'Abidjan (Côte d'Ivoire), Saint-Exupéry de Ouagadougou (Burkina Faso) et Paul-Valéry de Cali (Colombie).

Tout au long de la saison, les jeunes instrumentistes seront accompagnés par cinq tuteurs, Emmanuel André, Mireille Jardon, Jean-Claude Auclin, Cyril Ciabaud, et Jean-Pierre Odasso, musiciens de l’Orchestre philharmonique de Radio France.

Une plateforme numérique, développée par l’AEFE, permet de mettre à leur disposition :

• les partitions de Radio France et des ressources pédagogiques,
• des informations logistiques,
• des forums d’échanges entre élèves et avec leurs mentors.

En outre, le nouvel outil numérique « Vox, ma chorale interactive» de Radio France offre à tous les élèves et enseignants des vidéos, tutoriels, fiches pédagogiques dédiés à la pratique chorale.

La Ve saison de l’Orchestre se clôturera par un grand concert final auStudio 104 de Radio France, pendant la Semaine de la langue française et de la Francophonie.

Voir la vidéo "Radio France et l'AEFE, ensemble pour un orchestre plurilingue et multiculturel'

Les dates clés à retenir 

20 décembre : ouverture du site d’information de Parcoursup

Informations sur le déroulement de la procédure sur Parcoursup.fr
Offre de formation disponible : les contenus, les attendus, les débouchés professionnels et les critères d’examen des dossiers.

Du 22 janvier au 14 mars 2019 : inscription sur Parcoursup

Inscription sur Parcoursup et création du dossier candidat.
Saisie des vœux : jusqu'à 10 vœux (avec possibilité de sous-vœux selon les formations), sans avoir besoin de les classer.

Mercredi 14 mars : dernier jour pour formuler ses vœux

Aucun nouveau vœu ne peut être formulé après le 14 mars.

3 avril : Dernier jour pour finaliser le dossier du candidat avec les éléments demandés par les formations et confirmer chaque vœu

À télécharger

À consulter également

Un module spécifique destiné aux élèves de première et terminale, www.terminales2018-2019.fr, résume les phases essentielles du parcours des lycéens vers l'enseignement supérieur.

Le message vidéo du directeur de l'AEFE :

Ils sont au nombre de dix-sept : un ou une dans chacune des « zones de mutualisation » du réseau AEFE, à l’exception de la zone Asie-Pacifique, particulièrement étendue, qui en compte deux, et ils sont épaulés par un ou plusieurs conseillers pédagogiques, plus particulièrement engagés dans des actions de formation des enseignants.

Responsables, dans une zone géographique, de l’accompagnement individuel et collectif des personnels enseignants et directeurs d’école, les IEN en résidence portent également un regard expert sur les enseignements, les dispositifs éducatifs et le fonctionnement des écoles. Ils en évaluent la cohérence, la continuité et la pertinence pédagogiques. Leur rôle est donc irremplaçable car ils ont à connaître les conditions de scolarisation et l’offre éducative proposées aux enfants inscrits dans les établissements du réseau scolaire mondial. Rappelons que les deux tiers des élèves de ce réseau sont accueillis en école primaire.

Les IEN ont en outre un rôle essentiel de contrôle des enseignements dispensés en vérifiant, au moyen d’une procédure dite d’« homologation », leur bonne conformité aux programmes scolaires français.

Les inspecteurs du 1er degré ont les mêmes missions, quelle que soit leur zone d’affectation, mais évoluent dans des contextes très différents qui présentent de fortes spécificités sociales, culturelles, politiques, économiques. Il est donc crucial de respecter les singularités locales et de s’y adapter tout en s’assurant du niveau d’exigence de l’enseignement « à la française ». Il est cependant tout aussi primordial, pour l’Agence, de veiller à ce que l’ensemble des inspecteurs constitue un réseau coordonné et structuré, une communauté professionnelle réellement au service desorientations stratégiques de l’AEFE.

C’est la raison pour laquelle il est indispensable de les réunir deux fois par an (novembre et avril) afin de leur permettre de :

• travailler sur des sujets communs,
• partager leurs ressources,
• échanger sur leurs pratiques,
• recevoir des réponses aux questions qu’ils se posent,
• produire des outils communs de pilotage et d’évaluation.

À titre d’exemples, ce séminaire d’automne a permis de croiser regards et analyses sur les questions de formation continue à distance (enjeu très important lorsqu’on couvre des espaces géographiques de grande échelle), sur l’expertise des parcours langues ou des dispositifs et pratiques d’inclusion scolaire des élèves à besoins éducatifs particuliers (enfants en situation de handicap notamment).

Dans ce type de séminaire, le concours de l’inspection générale de l’Éducation nationale est toujours recherché et apprécié. C’est ainsi que des interventions sur l’enseignement moral et civique et sur l’éducation à la sexualité ont été intégrées à l’ordre du jour de ces rencontres. De la même façon, les inspecteurs pédagogiques (« IA-IPR ») en poste à l’AEFE ont pu intervenir sur des questions d’enseignement des différentes disciplines scolaires afin de contribuer aux nécessaires articulations entre le premier et le second degrés.

Enfin, la direction de l’Agence et les chefs des différents services centraux ont pu communiquer sur les axes structurants du développement du réseau AEFE, lequel doit nécessairement s’appuyer sur l’expertise pédagogique portée par les personnels d’inspection. N’oublions pas en effet qu’à l’horizon 2030, ce réseau devra avoir doublé le nombre d’élèves actuellement scolarisés. Un défi particulièrement ambitieux !

Sofiane, élève en classe de première, s'inquiète parce qu'il ne sait pas vers quoi s'orienter après le baccalauréat... Quelles questions doit-il se poser ? Quelles démarches de questionnement et d'information doit-il entreprendre ? Qui peut-il consulter et de quels outils dispose-t-il ? Pas de panique Sofiane !

À consulter :

Un site destiné aux élèves de première et terminale, www.terminales2018-2019.fr, qui résume en cinq étapes le parcours des lycéens vers l'enseignement supérieur.

 
Sur le site de l'ONISEP, mine d'informations sur les métiers et les formations, voir notamment la rubrique, très bien structurée, « Choisir mes études après le bac»

 
L'ONISEP propose un service gratuit d'échanges personnalisés avec des conseilleurs, en ligne, par téléphone, tchat et mail :
Mon  orientation en ligne

 
Les élèves des lycées français du monde inscrits sur la plateforme AGORA MONDE peuvent y entrer en contact avec de jeunes anciens élèves en cours d'études afin d'échanger sur leurs projets d'orientation post-bac.

Dans le cadre de sa politique sportive, l’AEFE a signé un partenariat le 17 mai 2018 avec le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Cette convention, destinée à encourager la culture de l’engagement au service des valeurs de l’olympisme, prévoit notamment la participation de jeunes adhérents aux ligues AEFE-UNSS aux événements sportifs à dimension internationale, tel que le championnat d’Europe de handball féminin. L’AEFE propose également une reconnaissance des compétences plurilingues des élèves JRI en lien avec la politique linguistique.

L’AEFE encourage la mise en œuvre d'activités et projets destinés à décrypter l'information, à comprendre le monde des médias et des réseaux sociaux, à exercer les élèves à produire et diffuser eux-mêmes de l'information. Lors de grandes manifestations ou événements sportifs les élèves deviennent de véritables journalistes reporters d’images : des « JRI », qui dans l’univers AEFE sont des jeunes reporters internationaux. Ils pourront faire valoir l’expérience de jeunes reporters et d’interprètes dans leur parcours Avenir ou auprès des organisateurs des Jeux olympiques 2020 et 2024.

Lors du championnat d’Europe de handball féminin qui se déroule en France du 29 novembre au 16 décembre 2018, deux équipes de jeunes reporters internationauxâgés de 15 et 16 ans sont présentes. Grâce à l’EHF EURO 2018, les élèves peuvent accéder aux entraînements et aux matchs des joueuses, les interviewer et produire des dépêches. Ces élèves sont scolarisés aux lycées français de Budapest et de Madrid : les quatre jeunes en provenance de Hongrie sont sur Montbéliard du 30 novembre au 5 décembre et les quatre Madrilènes sur Paris du 12 au 16 décembre. Ils sont tous plurilingues.

L’AEFE et l’EHF EURO 2018 sont fiers de donner vie à ce projet européen qui a vocation à se renouveler sur d’autres événements sportifs.

Initiative franco-sénégalaise d'envergure, le Salon Formations et 1er Emploi, dont c'était la deuxième édition sous cette forme, était organisé aux Cours Sainte-Marie-de-Hann, établissement d'excellence proposant les programmes français et sénégalais.

Il a permis d'accueillir plus de 4 000 personnes – lycéens, étudiants, jeunes diplômés en phase de recherche d’emploi, parents et membres des communautés éducatives. Plus de 80 établissements d'enseignement supérieur, publics et privés, autant du Sénégal que de France, y étaient représentés. Pas moins de 45 conférences prévues. Entreprises, spécialistes de ressources humaines et conseillers d'orientation y étaient également actifs.

Trois établissements scolaires du réseau de l'AEFE étaient partie prenantes de l'organisation – les Cours Sainte-Marie-de-Hann, I'Institution Sainte-Jeanne-d'Arc et le lycée français Jean-Mermoz – aux côtés de quatre ministères sénégalais, du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères, de Campus France, du service de coopération et d'action culturelle de l'ambassade de France et de l'Institut français.

Les objectifs ? Multiples. Principalement accompagner les lycéens et les étudiants dans la préparation de leurs projets de formation et contribuer au renforcement de l’adéquation entre l’offre de formation et le marché de l’emploi.

En amont de l'événement, le travail pédagogique a également été important, afin que les élèves tirent le meilleur bénéfice des rencontres et des échanges favorisés par le Salon. 
Aperçu avec une vidéo tournée par des élèves du lycée français Jean-Mermoz dans le cadre de leurs parcours Avenir...

Voir la page Appel à candidatures pour connaître le profil de poste détaillé et les modalités de candidature.

Les signataires, de gauche à droite : Christophe Bouchard, directeur de l'AEFE, David Litvan, contrôleur budgétaire et comptable ministériel auprès du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, et Olivier Sordet, agent comptable principal de l'AEFE. Debout, d'autres responsables de l'AEFE : Bernard Pujol, DRH du réseau, Laurent Signoles, secrétaire général, Jean-Paul Négrel, directeur adjoint, et Aurélia Carré de Lusançay, directrice des affaires financières et du contrôle de gestion.

 
Pour assurer la mise en paiement des rémunérations de ses personnels en fonction à l’étranger, l’AEFE avait signé en 1991 une convention de paie à façon avec la Direction spécialisée des finances publiques pour l’étranger (DSFIPE). La réforme de la gestion budgétaire et comptable publique a été à l’origine de la rédaction d’une nouvelle convention dont la signature est intervenue le 26 novembre 2018.

Ce partenariat entre l’AEFE et la DSFIPE permet le règlement, chaque mois, de la rémunération de près de 6 300 agents ainsi que le versement des cotisations et contributions salariales et patronales aux différents organismes sociaux.

C’est à l’occasion de la Semaine des lycées français du monde 2018 que Michel Orier, directeur de la musique et de la création à Radio France, et Christophe Bouchard, directeur de l'AEFE, ont signé une nouvelle convention triennale très ambitieuse. Cette convention développe le volet pédagogique de la coopération en ajoutant notamment un volet formation pour les enseignants d’éducation musicale. Une attention particulière est portée au chant choral, levier important pour insuffler des pratiques pédagogiques innovantes alliant musique et langue orale.

Dirigé par Adriana Tanus, également enseignante au Lycée français de Madrid, l'Orchestre des lycées français du monde, sera composé pour cette Ve saison de 70 jeunes musiciens de 23 nationalités différentes, qui viennent de 40 établissements scolaires du réseau situés dans 28 pays. Il sera accompagné d'un chœur international, dirigé par Claire Perez-Maestro, rassemblant 120 choristes, du collège Pierre-Mendès-France de Marcoussis (80), du collège international de Saint-Germain-en-Laye (10), et de trois établissements du réseau scolaire mondial, les lycées français Blaise-Pascal d'Abidjan (Côte d'Ivoire), Saint-Exupéry de Ouagadougou (Burkina Faso) et Paul-Valéry de Cali (Colombie).

Tout au long de la saison, les jeunes instrumentistes seront accompagnés par cinq tuteurs, Emmanuel André, Mireille Jardon, Jean-Claude Auclin, Cyril Ciabaud, et Jean-Pierre Odasso, musiciens de l’Orchestre philharmonique de Radio France.

Une plateforme numérique, développée par l’AEFE, permet de mettre à leur disposition :

• les partitions de Radio France et des ressources pédagogiques,
• des informations logistiques,
• des forums d’échanges entre élèves et avec leurs mentors.

En outre, le nouvel outil numérique « Vox, ma chorale interactive» de Radio France offre à tous les élèves et enseignants des vidéos, tutoriels, fiches pédagogiques dédiés à la pratique chorale.

La Ve saison de l’Orchestre se clôturera par un grand concert final auStudio 104 de Radio France, pendant la Semaine de la langue française et de la Francophonie.

Voir la vidéo "Radio France et l'AEFE, ensemble pour un orchestre plurilingue et multiculturel'

Les dates clés à retenir 

20 décembre : ouverture du site d’information de Parcoursup

Informations sur le déroulement de la procédure sur Parcoursup.fr
Offre de formation disponible : les contenus, les attendus, les débouchés professionnels et les critères d’examen des dossiers.

Du 22 janvier au 14 mars 2019 : inscription sur Parcoursup

Inscription sur Parcoursup et création du dossier candidat.
Saisie des vœux : jusqu'à 10 vœux (avec possibilité de sous-vœux selon les formations), sans avoir besoin de les classer.

Jeudi 14 mars : dernier jour pour formuler ses vœux

Aucun nouveau vœu ne peut être formulé après le 14 mars.

3 avril : Dernier jour pour finaliser le dossier du candidat avec les éléments demandés par les formations et confirmer chaque vœu

À télécharger

À consulter également

Un module spécifique destiné aux élèves de première et terminale, www.terminales2018-2019.fr, résume les phases essentielles du parcours des lycéens vers l'enseignement supérieur.

Ils sont au nombre de dix-sept : un ou une dans chacune des « zones de mutualisation » du réseau AEFE, à l’exception de la zone Asie-Pacifique, particulièrement étendue, qui en compte deux, et ils sont épaulés par un ou plusieurs conseillers pédagogiques, plus particulièrement engagés dans des actions de formation des enseignants.

Responsables, dans une zone géographique, de l’accompagnement individuel et collectif des personnels enseignants et directeurs d’école, les IEN en résidence portent également un regard expert sur les enseignements, les dispositifs éducatifs et le fonctionnement des écoles. Ils en évaluent la cohérence, la continuité et la pertinence pédagogiques. Leur rôle est donc irremplaçable car ils ont à connaître les conditions de scolarisation et l’offre éducative proposées aux enfants inscrits dans les établissements du réseau scolaire mondial. Rappelons que les deux tiers des élèves de ce réseau sont accueillis en école primaire.

Les IEN ont en outre un rôle essentiel de contrôle des enseignements dispensés en vérifiant, au moyen d’une procédure dite d’« homologation », leur bonne conformité aux programmes scolaires français.

Les inspecteurs du 1er degré ont les mêmes missions, quelle que soit leur zone d’affectation, mais évoluent dans des contextes très différents qui présentent de fortes spécificités sociales, culturelles, politiques, économiques. Il est donc crucial de respecter les singularités locales et de s’y adapter tout en s’assurant du niveau d’exigence de l’enseignement « à la française ». Il est cependant tout aussi primordial, pour l’Agence, de veiller à ce que l’ensemble des inspecteurs constitue un réseau coordonné et structuré, une communauté professionnelle réellement au service desorientations stratégiques de l’AEFE.

C’est la raison pour laquelle il est indispensable de les réunir deux fois par an (novembre et avril) afin de leur permettre de :

• travailler sur des sujets communs,
• partager leurs ressources,
• échanger sur leurs pratiques,
• recevoir des réponses aux questions qu’ils se posent,
• produire des outils communs de pilotage et d’évaluation.

À titre d’exemples, ce séminaire d’automne a permis de croiser regards et analyses sur les questions de formation continue à distance (enjeu très important lorsqu’on couvre des espaces géographiques de grande échelle), sur l’expertise des parcours langues ou des dispositifs et pratiques d’inclusion scolaire des élèves à besoins éducatifs particuliers (enfants en situation de handicap notamment).

Dans ce type de séminaire, le concours de l’inspection générale de l’Éducation nationale est toujours recherché et apprécié. C’est ainsi que des interventions sur l’enseignement moral et civique et sur l’éducation à la sexualité ont été intégrées à l’ordre du jour de ces rencontres. De la même façon, les inspecteurs pédagogiques (« IA-IPR ») en poste à l’AEFE ont pu intervenir sur des questions d’enseignement des différentes disciplines scolaires afin de contribuer aux nécessaires articulations entre le premier et le second degrés.

Enfin, la direction de l’Agence et les chefs des différents services centraux ont pu communiquer sur les axes structurants du développement du réseau AEFE, lequel doit nécessairement s’appuyer sur l’expertise pédagogique portée par les personnels d’inspection. N’oublions pas en effet qu’à l’horizon 2030, ce réseau devra avoir doublé le nombre d’élèves actuellement scolarisés. Un défi particulièrement ambitieux !

Sofiane, élève en classe de première, s'inquiète parce qu'il ne sait pas vers quoi s'orienter après le baccalauréat... Quelles questions doit-il se poser ? Quelles démarches de questionnement et d'information doit-il entreprendre ? Qui peut-il consulter et de quels outils dispose-t-il ? Pas de panique Sofiane !

À consulter :

Un site destiné aux élèves de première et terminale, www.terminales2018-2019.fr, qui résume en cinq étapes le parcours des lycéens vers l'enseignement supérieur.

 
Sur le site de l'ONISEP, mine d'informations sur les métiers et les formations, voir notamment la rubrique, très bien structurée, « Choisir mes études après le bac»

 
L'ONISEP propose un service gratuit d'échanges personnalisés avec des conseilleurs, en ligne, par téléphone, tchat et mail :
Mon  orientation en ligne

 
Les élèves des lycées français du monde inscrits sur la plateforme AGORA MONDE peuvent y entrer en contact avec de jeunes anciens élèves en cours d'études afin d'échanger sur leurs projets d'orientation post-bac.

Dans le cadre de sa politique sportive, l’AEFE a signé un partenariat le 17 mai 2018 avec le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Cette convention, destinée à encourager la culture de l’engagement au service des valeurs de l’olympisme, prévoit notamment la participation de jeunes adhérents aux ligues AEFE-UNSS aux événements sportifs à dimension internationale, tel que le championnat d’Europe de handball féminin. L’AEFE propose également une reconnaissance des compétences plurilingues des élèves JRI en lien avec la politique linguistique.

L’AEFE encourage la mise en œuvre d'activités et projets destinés à décrypter l'information, à comprendre le monde des médias et des réseaux sociaux, à exercer les élèves à produire et diffuser eux-mêmes de l'information. Lors de grandes manifestations ou événements sportifs les élèves deviennent de véritables journalistes reporters d’images : des « JRI », qui dans l’univers AEFE sont des jeunes reporters internationaux. Ils pourront faire valoir l’expérience de jeunes reporters et d’interprètes dans leur parcours Avenir ou auprès des organisateurs des Jeux olympiques 2020 et 2024.

Lors du championnat d’Europe de handball féminin qui se déroule en France du 29 novembre au 16 décembre 2018, deux équipes de jeunes reporters internationauxâgés de 15 et 16 ans sont présentes. Grâce à l’EHF EURO 2018, les élèves peuvent accéder aux entraînements et aux matchs des joueuses, les interviewer et produire des dépêches. Ces élèves sont scolarisés aux lycées français de Budapest et de Madrid : les quatre jeunes en provenance de Hongrie sont sur Montbéliard du 30 novembre au 5 décembre et les quatre Madrilènes sur Paris du 12 au 16 décembre. Ils sont tous plurilingues.

L’AEFE et l’EHF EURO 2018 sont fiers de donner vie à ce projet européen qui a vocation à se renouveler sur d’autres événements sportifs.

Initiative franco-sénégalaise d'envergure, le Salon Formations et 1er Emploi, dont c'était la deuxième édition sous cette forme, était organisé aux Cours Sainte-Marie-de-Hann, établissement d'excellence proposant les programmes français et sénégalais.

Il a permis d'accueillir plus de 4 000 personnes – lycéens, étudiants, jeunes diplômés en phase de recherche d’emploi, parents et membres des communautés éducatives. Plus de 80 établissements d'enseignement supérieur, publics et privés, autant du Sénégal que de France, y étaient représentés. Pas moins de 45 conférences prévues. Entreprises, spécialistes de ressources humaines et conseillers d'orientation y étaient également actifs.

Trois établissements scolaires du réseau de l'AEFE étaient partie prenantes de l'organisation – les Cours Sainte-Marie-de-Hann, I'Institution Sainte-Jeanne-d'Arc et le lycée français Jean-Mermoz – aux côtés de quatre ministères sénégalais, du ministère français de l'Europe et des Affaires étrangères, de Campus France, du service de coopération et d'action culturelle de l'ambassade de France et de l'Institut français.

Les objectifs ? Multiples. Principalement, accompagner les lycéens et les étudiants dans la préparation de leurs projets de formation et contribuer au renforcement de l’adéquation entre l’offre de formation et le marché de l’emploi.

En amont de l'événement, le travail pédagogique a également été important, afin que les élèves tirent le meilleur bénéfice des rencontres et des échanges favorisés par le Salon. 
Aperçu avec une vidéo tournée par des élèves du lycée français Jean-Mermoz dans le cadre de leurs parcours Avenir...

Voir la page Appel à candidatures pour connaître le profil de poste détaillé et les modalités de candidature.